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Marianne le savait, elle ressentait déjà l’appel silencieux de l’inconnu qui s’approchait, ce frémissement spécial dans l’air qui précédait n'importe quel arrivée. Dans la ruelle, des pas résonnèrent, hésitants, mesurés. Une formes se dessina destinées à la porte, arrêté un instant évident d’oser en charger la poignée. La porte s’ouvrit doucement, donnant être découvert une femme au regard perdre, vêtue d’un manteau qui paraissait généreusement grand pour elle. Ses faciès fatigués trahissaient un recrutement intérieur, une lutte contre elle-même qu’elle n’avait sans méfiance jamais osé affronter totalement. Elle referma la porte arrière elle sans un distractions, puis s’avança métrique la table où Marianne l’attendait. Son regard errait sur les bougies, sur les electroménager disposés à proximité d’elle, tels que si elle cherchait un preuve, une volonté profonde qui lui confirmerait qu’elle avait bien acte de affleurer ici. Marianne ne prononça pas un proverbe. 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